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The British state is crumbling before our eyes, and we in Wales have the opportunity to create a new political system.
It is imperative that we campaign in a positive manner over the weeks, months and years ahead, to ensure that our message isn't ignored by those who want to hold Wales back. We ask our supporters and members to help spread the word, attend rallies and actively campaign with progressive Welsh movements, to push for Welsh independence.
Here are eight things you can do to get the ball rolling:
Make every effort to attend one of the above events
Arrange rallies, events and meetings in your towns and villages. You will have our support. Get in touch post@yescymru.org
Discuss Welsh independence with your neighbours, friends and children
Après le Brexit, les Gallois ont-ils fait le bon choix ? De toutes façons, l'important est de resserrer nos liens entre Celtes, notamment Bretons et Gallois. Nous suivrons bien sûr les résultats en Ecosse et en Irlande du Nord...
Ville jumelée avec Lannion/Lanuon-Ploubezre (Breizh)
Le château de Caerphilly se dresse derrière de larges étendues d'eau à vocation défensive, il est le deuxième plus grand château du Royaume-Uni après celui de Windsor. Commencé en 1268 par l'influent baron Gilbert de Clare, ce château fut le premier de Grande-Bretagne à être bâti selon un plan parfaitement concentrique ; la conception de ses murs, de ses tours et de ses corps de garde comporte certaines caractéristiques novatrices. Il servit de modèle aux châteaux qu'Édouard Ier devait construire peu après avoir occupé le nord du pays de Galles.
Les Ecossais ne seraient pas les seuls Britanniques à enrager si le Royaume-Uni venait à quitter l’Union européenne (UE). Le référendum de jeudi donne aussi des sueurs froides aux Irlandais, aux Gallois et aux… Londoniens. Le Brexit, en effet, c’est le vote de «la province anglaise contre la capitale et les Celtes», résume Peter Kellner, qui présidait jadis l’institut de sondage YouGov.
En Irlande du Nord, on craint de voir voler en éclats l’Accord du Vendredi-Saint signé à Belfast le 10 avril 1998 entre les deux Etats qui se disputent la province d’Ulster: la République d’Irlande et le Royaume-Uni. Aujourd’hui, chacun peut circuler sans contrainte entre toutes les îles irlandaises et britanniques. Il n’y a pas le moindre poste de douane entre Dublin et Belfast. Ils sont des dizaines de milliers à vivre au sud et travailler au nord de la frontière invisible. Mais en cas de Brexit, cela pourrait changer. Collé à l’Angleterre, le Pays de Galles semble très partagé. Son niveau de pauvreté étant comparable à ceux du Portugal, de la Grèce ou des pays de l’Est, personne ne veut perdre les subventions versées par l’UE (700 millions d’euros annuels). Mais le Parti pour l’indépendance du Royaume-Uni (UKIP) séduit bien des électeurs en jurant que des fonds britanniques compenseront les pertes…
Cela dit, le premier ministre gallois, Carwyn Jones, a averti dans le Financial Times que «le Royaume-Uni ne pourra pas garder sa forme actuelle si l’Angleterre vote la sortie (ndlr: le Brexit) et tous les autres (ndlr: Ecosse, Irlande du Nord et Pays de Galles) votent pour rester!»
Le spectre d’un éclatement du royaume en cas de Brexit est si présent qu’on trouve même des Londoniens affichant des revendications… autonomistes! Ambiance. Andres Allemand
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Le pays de Galles termine à la première place de la poule B de l'Euro 2016. Au prochain tour, à Paris samedi, les Dragons seront opposés à un troisième de groupe avec, donc, de réelles chances de prolonger ce rêve éveillé.
L'affaire a été rondement menée par la sélection de Chris Coleman, puisque le score était de 2-0 après vingt minutes de jeu. Aaraon Ramsey, à la réception d'une belle ouverture de Joe Allen, a trompé une première fois Akinfeev à la 11e. Puis le portier russe a encore plié, en deux temps, face au latéral gauche Neil Taylor, parti de très loin et servi involontairement par... Roman Shirokov.
Deux buts qui sont tout simplement venus récompenser la seule équipe sur le terrain, du moins la seule à parvenir à provoquer des décalages et, par conséquent, à créer le danger. La Sbornaya a bien tenté de réagir et a eu une opportunité à la 27e par Dzyuba, sur un long dégagement d'Akinfeev. Mais, vieillissante et trop pauvre techniquement, elle n'a jamais pu y croire.
Personne ne regrettera la Russie
Le Pays de Galles, dont il s'agit du deuxième grand tournoi seulement après la Coupe du monde... 1958, se retrouve ainsi en 8e de finale, pour le plus grand bonheur du fantastique public qui suit pas à pas ses Dragons. Et qui a eu d'autres occasions de vibrer dans la tiède soirée toulousaine grâce aux nombreuses occasions des Gallois et, surtout, au 3-0 signé bien sûr par Gareth Bale (67e), sa troisième réalisation mais la première autrement que sur coup franc.
House of Commons leader Chris Grayling has rejected calls from MPs to overturn a ban on speaking Welsh at Westminster.
Mr Grayling said it would not be "sensible" to spend taxpayers money on translation facilities.
He said ministers might review the ban if a new MP could not speak English.
Mr Grayling was responding to a call from his Labour shadow, Chris Bryant, who suggested MPs could be allowed to speak Welsh during meetings of the Welsh grand committee.
Mr Bryant asked him: "I understand that the language of this House is English, but Welsh is the mother tongue of many of my compatriots and constituents so is it not time we allowed Welsh in the Welsh grand committee?"
Mr Grayling replied: "I have given this careful thought.
"In my judgement, given the fact that English is the language of this House and given the fact it would cost taxpayers' money to make a change at this moment in time, if somebody arrives in this House who cannot speak English we may need to look at this issue again.
"But I think we have considered this issue very carefully and we should retain the situation where English is the language of this House."
MPs have been able to speak Welsh when the Welsh grand committee has met in Wales, and the Welsh affairs select committee has taken evidence in Welsh at Westminster.
Mr Grayling's comments annoyed Cynon Valley Labour MP Ann Clwyd, who told him: "Can I remind you that some of us took the oath in joining this House in both English and Welsh, and I'd ask you to look again at the proposal to use Welsh in the Welsh grand committee?
"Some of us did not speak English until we were aged five and most of us are now bilingual - but nevertheless the Welsh language and its status is very important."
He told Ms Clwyd: "Of course I do absolutely understand the need to protect the Welsh language and indeed across different administrations over the last generation extensive steps have been taken to protect the Welsh language, to make it very much a part of routine life in Wales.
"My question to you really is: at a time of financial pressure, is it really sensible for us to be spending taxpayers' money in a House where the prime language, the main language, the official language is English, when we have members of this House who are able to talk in that language?
"As long as that is the case, I have considered it carefully but I don't believe we should change things."
Following the exchange, Plaid Cymru MP Jonathan Edwards tabled a parliamentary question asking what assessment had been made of the cost of providing simultaneous and written translation in Welsh grand committees and asking Mr Grayling to publish the findings.